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“Ma vie entière tourne autour de la musique”



Récemment, Jun.K (2PM) a fait ses débuts en solo au Japon avec le mini-album “Love&Hate“, qui arencontré un certain succès. De plus, lui et les autres membres de son boysband préparent leur comeback coréen. L’idole intéresse ainsi les magazines, car après “Singles“, c’est pour “The Star” qu’il pose ici, et répond aux questions du journaliste.
En effet, voici la traduction de l’interview réalisée pour l’édition du mois de juin du magazine :

Q : Félicitations pour votre première place dans les charts Oricon. Comment vous sentez-vous ?
Jun.K : C’est mon premier album en solo depuis que j’ai rejoint la compagnie, il y a 12 ans. De plus, j’ai beaucoup travaillé dessus, donc je pense que c’est grâce à tout ce labeur en tant que membre de 2PM que j’ai pu le sortir. C’était un bon timing.
Q : Que vous ont dit les membres [du groupe] ou les gens autour de vous ?
Jun.K : Les membres [du groupe] m’ont félicité, et étaient contents comme si c’était leur propre album. Quand j’ai découvert que j’étais premier dans les charts, j’ai appelé directement ma mère, et elle s’est mise à pleurer alors qu’elle était en route pour aller au supermarché. Mon ressenti était assez différent. Mes distributeurs japonais, Sony Japan, m’ont dit que l’éditeur en chef d’Oricon les avait contactés pour leur signaler que parmi tous les albums de cette année, le mien se plaçait premier. Quand j’ai entendu cela, je me sentais encore mieux. J’ai beaucoup travaillé sans pouvoir me reposer depuis décembre de l’année dernière. J’ai fait de mon mieux pour le préparer, mais je suis reconnaissant envers les gens qui m’ont aidé à obtenir ce résultat, et ceux qui m’ont félicité. J’ai un autre concert au Japon la semaine prochaine et J.Y Park m’a dit qu’il viendrait. J’étais très surpris.
Q : Lorsque j’ai regardé le MV de “Love&Hate”, je me suis dit que vous étiez soucieux de chaque petit détail. La nuance des couleurs est belle, la partie de rap est intéressante aussi. J’ai entendu dire que vous avez suggéré vous-même le moindre détail ?
Jun.K : Je me souciais beaucoup du MV. Mes vêtements, le rendu de ma performance, l’arrière-plan du MV, j’ai même demandé à ce qu’on fasse un zoom sur un angle particulier lorsque je tourne. Le résultat de l’arrière-plan ajouté à l’ordinateur et de mon corps en premier plan me préoccupait, donc du coup j’ai écrit tout en détails et j’ai envoyé un e-mail au réalisateur du MV (rires). Cela a dû être dur pour le réalisateur et les membres de l’équipe de me supporter. Même durant les enregistrements, normalement les chanteurs s’en vont après avoir fait leur travail, car les arrangements, le mixage et les finitions sont faites par le compositeur ou l’ingénieur du son. Et bien moi, vu que j’ai travaillé pour cet album, je restais et je participais à l’édition, pendant trois à quatre heures par jour. Un jour, l’ingénieur devait vraiment en avoir marre car il m’a dit “Tu te donnes beaucoup pour faire de la musique” (rires). En réalité, je suis un peu perfectionniste, mais cette fois, même quand j’y repense de mon propre point de vue ; ça a dû vraiment être dur. Je me disais que si je ne surveillais pas tout cela du début à la fin, ça n’allait pas être bon. Encore plus du fait que ce soit ma première fois (rires). À tous ceux que j’ai tourmenté sans le vouloir, je suis désolé.
Q : Grâce à tout ce travail, le résultat est bon. J’ai entendu dire que vous avez été conseillé par le musicien R&B de renommée mondiale Jeff Bernat afin de préparer cet album en solo. Que vous a-t-il dit ?
Jun.K : Plutôt que de lui demander conseil, vu que nous sommes amis, je lui ai juste dit que mon album solo allait bientôt sortir. Quand je lui en ai parlé, il m’a demandé ce que j’en pensais de travailler ensemble. Il m’a même dit qu’il m’enverrait un morceau sur lequel il était en travailler, mais vu que c’est un album japonais, et travailler sur des musiques [déjà existantes] prend du temps, nous avons décidé de travailler ensemble la prochaine fois.
Q : Vous êtes en pleine tournée au Japon, c’est cela ? Êtes-vous nerveux ou excité de devoir tenir un spectacle par vous-même ?
Jun.K : Je suis excité et nerveux. Premièrement, c’est déjà difficile de faire un concert alors que nous sommes six. Mais du coup, quand je suis seul, c’est encore plus dur physiquement. Par exemple, quand nous sommes ensemble et que je suis fatigué, les autres membres attirent l’attention lorsque je bois de l’eau, mais lorsque je suis tout seul ça ne marche pas comme ça. Je dois prendre en compte chaque mouvement. D’un autre côté, ce qui est bien c’est que je chante à peu près vingt chansons, et vu que je les ai toutes composées, j’essaye de nouveaux arrangements, ça représente beaucoup pour moi. J’aime le fait de pouvoir dévoiler à mes fans de la musique que j’aime, et de la musique que j’ai toujours rêvé de faire.
Q : Si l’on regarde toutes les fancams de vos concerts, les salles étaient complètement remplies. Quel est le charme de Jun.K qui fait fondre toutes les nationalités ?
Jun.K : Mon charme ? Je ne sais pas. Peut-être est-ce dû au fait que nous avons eu beaucoup d’activités au Japon ; par exemple, quand en Corée nous devons promouvoir notre album principalement à la télévision, plus que durant les concerts, au Japon, la culture populaire est plus accessible, donc beaucoup de gens viennent nous voir en concert. Vu que certains deviennent fans comme ça, je considère que les détails sont importants. Encore plus du fait que j’ai produit ma tournée en solo. Quand je réalise une chanson, je le fais en imaginant la performance, et après la troisième fois, je pense que l’on s’y fait petit à petit. Pour être honnête, mon apparence ne se détache pas du lot (rires). J’aime être connu pour la musique que je fais.
Q : J’ai lu une interview japonaise où il était marqué que lorsque vos débuts en solo ont été décidés, afin de mieux comprendre quel genre de musique les japonais aiment, vous avez écouté toutes les chansons en top 5 des charts Oricon de 1990 à aujourd’hui. Cela vous a-t-il aidé ?
Jun.K : Depuis que nous avons commencé nos toutes premières promotions au Japon, j’ai souvent écouté des chansons de cette façon. Quand les gens écoutent de la musique sur des sites de partage ou sur Internet, ils écoutent en général les premiers morceaux du classement, pour voir s’ils sont bons. Je voulais conserver le rythme de ces chansons, tout en gardant un œil sur ce qui plaisait au public japonais.
Q : Je pense que c’est là le charme de Jun.K.
Jun.K : Ce n’est pas pour être sérieux, c’est juste que j’aime bien le faire. D’habitude, lorsque la date butoir approche, je deviens fou afin de tout finir rapidement, même si j’essaie de prendre du plaisir dans ce que je fais. Vous savez, il y a toujours un moment où, même si vous aimez ce que vous faîtes, cela devient un réel travail. Je veux me débarrasser de ce genre de pensées. Depuis décembre dernier, c’était uniquement maison – travail – bureau. Je dormais un peu, et après je retournais au travail – c’est le genre de vie que j’ai mené pendant cinq mois. C’était dur. Et j’ai eu des problèmes.
Q : Quel genre de problèmes ?
Jun.K : Ce qui est important quand on fait de la musique, c’est de plaire à beaucoup de monde. Vu que l’on doit attirer l’attention du public, il faut faire attention à la mélodie. Malgré cela, il faut quand même faire les choses à sa façon afin que son propre message puisse être diffusé. C’est pour cela que j’ai mis beaucoup d’efforts afin d’exposer mes vraies couleurs. Nous avons créé l’équipe “143 Volt” avec le compositeur Super Changddai, et nous avons travaillé sur cet album ensemble, mais quand je faisais part de mes idées, il me disait quelques fois que, musicalement parlant, ça ne collait pas. Dans ces moments-là, j’essayais de le convaincre et je continuais sur ma lancée, mais sur les trois ou quatre chansons que nous avons faites, il me disait ça à chaque fois. Il pensait que ça n’allait vraiment pas marcher, mais finalement le rendu est très distinct. Tout le monde a beaucoup travaillé. Quand j’ai fait écouter mes chansons à d’autres compositeurs, ils se sont rendus compte des parties sur lesquelles j’ai le plus œuvré. Les compositeurs de Duble Sidekick en particulier m’ont beaucoup félicité. J’étais très heureux quand ils m’ont dit que j’ai réussi à faire certaines choses qu’eux-mêmes n’avaient pas mené à bien.
Q : J’ai entendu dire que vous travaillez beaucoup pour l’album à venir des 2PM.
Jun.K : C’est réellement comme dans un rêve. J’ai composé plusieurs chansons, et je travaille également en tant que producteur. Lors du jour du rendu des compositions, j’ai travaillé jusqu’à 6 heures du matin, je me suis levé pour rentrer chez moi, et c’est alors que je me suis dit “Et si 2PM promouvait ce genre de titre phare?”. Je me demandais si je devais rentrer à la maison ou non, et finalement je me suis mis à composer de 6 heures du matin à 1 heure de l’après-midi. Plus tard dans la journée, nous nous sommes rassemblés pour choisir le titre phare. J.Y Park est venu avec trois de ses propres compositions. Nous avons écouté ses chansons, et quand j’ai mis la mienne en lecture, à peu près trente membres de l’équipe du son sur quarante m’ont dit que c’était une bonne musique, et que nous devrions la promouvoir. À ce moment-là, j’ai observé l’expression de J.Y Park (rires). Il ne faisait que répéter “écoutons-la encore”, “écoutons-la encore”, et j’en étais vraiment désolé (rires). Même si depuis quelques temps, les autres chanteurs du label interprètent des morceaux de différents compositeurs, c’est la première fois que la composition d’un artiste de l’agence est choisie en tant que titre phare, donc il m’a félicité.
Q : Vu que vous êtes producteur, vous devez parfois être dur avec les autres membres [de 2PM]. Comment cela s’est-il passé ?
Jun.K : Je pense que l’énergie est importante. Quand vous rencontrez quelqu’un et que cette personne a une bonne énergie, l’ambiance générale a tendance a être au beau fixe. En vérité, je suis le genre de personne qui déborde d’énergie (rires). Toutefois, j’ai remarqué quelque chose durant les enregistrements. Même si les autres membres sont venus après s’être entraînés chacun de leurs côtés, vu que nous aimons être ensemble, la chanson a pris un ton totalement différent. J’étais très surpris. J’ai alors pensé : “C’est vraiment important de donner et recevoir une bonne énergie. Il est possible de bien travailler lorsque je donne mon énergie à quelqu’un et que j’en reçois en retour”.
Q : Quand on pense “énergie”, on pense à 2PM. Assez récemment, j’ai vu une apparition des 2PM “bestiaux” dans “Running Man” sur SBS, l’épisode du championnat athlétique des idoles.
Jun.K : J’ai cru que j’allais mourir durant le tournage. C’est impossible de battre Kim Jong Gook.
Q : Et pourtant, il y a eu de bons retours. J’ai lu des commentaires tels que “les idoles bestiales sont toujours les mêmes”. Pourtant, lorsque j’ai regardé l’épisode, je me suis dit “Est-ce que idoles ‘bestiales’ est un bon adjectif pour un groupe qui va bientôt avoir sept ans ?”.
Jun.K : Je pense que l’expression “idoles bestiales” a été utilisée pour la première fois pour désigner 2PM. Et nous en sommes reconnaissants. C’est une bonne chose d’être connu pour quelque chose, mais je pense également que nous devrions faire évoluer cette image. Cela ne veut pas dire pour autant que nous voulons nous débarrasser de celle-ci. C’est juste que “idole bestiale” fait principalement référence à l’apparence. Je pense qu’au lieu de se concentrer sur l’allure physique, nous devrions montrer au public ce que chaque membre a appris tout au long de ces années. Et nous pouvons le montrer à chaque fois que nous en avons l’occasion, ou durant les activités avec 2PM. Si nous voulons œuvrer à cela, nous devons travailler dur en Corée, et nous nous sommes mis d’accord sur le fait qu’il était mieux de s’entraîner ensemble. Je suis aussi très curieux de ce que va devenir 2PM à force de temps.
Q : En tant que membre le plus âgé [de 2PM], quel genre d’image pensez-vous que le reste du groupe peut se donner, et quel genre d’image devrait-il montrer ?
Jun.K : Je pense qu’aucun des membres du groupe n’a eu la chance de montrer ses réelles capacités pour l’instant. Cependant, certains d’entre eux prouvent petit à petit leurs talents en jouant dans des films, des dramas ou des émissions. Evidemment, la meilleure synergie réside quand nous sommes tous réunis. Je pense que nous devrions encore montrer de nouvelles choses, afin de convaincre le public des talents de chacun d’entre nous, pour qu’il puisse penser “Alors ce chanteur a tel talent ou telle image”.
Q : En revanche, si vous voulez montrer cela, vous devez vraiment être actif, et il ne vous resterait plus de temps pour vous reposer. Qu’en pensez-vous ?
Jun.K : Ça me va de ne pas avoir le temps de me reposer. Les autres sont vraiment inquiets et me disent “Hyung, comment y arrives-tu sans te reposer ?”, mais vu que je suis le premier à dire que nous devons être actifs en Corée, en tant qu’aîné, je me dois de montrer l’exemple (rires). En Corée, il est important de sortir régulièrement des albums.
Q : Si vous aviez du temps pour vous, qu’aimeriez-vous faire ?
Jun.K : Je pense à cela de telle manière : avant, lorsque l’on me posait cette question, je répondais que je voulais aller en Suisse, mais ces derniers temps, j’ai changé d’avis. La sensibilité est très importante quand on compose des chansons, vous savez. Quand une situation change, vos émotions vont de paire, et l’on dit que le repos est nécessaire. Je pense qu’il est bon de s’en tenir à ce qu’une pause signifie. Si je dois me reposer, je voudrais le faire avec ma famille. Je n’ai pas vu ma mère et mon frère depuis janvier. Donc, la chose la plus importante est de voir ma famille ; outre cela, il n’y a rien de spécial que j’aimerais faire.
Q : Vous n’avez pas de petite amie ?
Jun.K : Je n’en ai pas (rires).
Q : Vous n’en avez pas parce que votre situation actuelle ne vous le permet pas, ou juste parce que vous faites passer le travail en priorité ?
Jun.K : Je n’en sais rien. Premièrement, personne ne semble intéressé [pour sortir avec moi] (rires). Je n’ai pas le temps de rencontrer des gens. Je vois toujours les mêmes personnes, de ce fait, je ne connais pas vraiment les autres célébrités.
Q : Avez-vous déjà aimé et détesté quelqu’un comme dans votre chanson “Love & Hate” ?
Jun.K : Oui.
Q : Taecyeon, Nichkhun et même Wooyoung se sont essayés au (faux) marriage. N’êtes-vous pas jaloux ?
Jun.K : Qui sait… Je n’y ai jamais réellement pensé.
Q : Si vous aviez une chance de participer à “We Got Married”, avec qui voudriez-vous le faire ? Vous avez mentionné une fois vouloir essayer avec Kim Min Jung. Est-ce toujours d’actualité ?
Jun.K : Même si je n’ai toujours pas eu l’opportunité de rencontrer Kim Min Jung, elle est mon idéale féminine depuis “Kid Cop”, dans lequel elle a joué alors qu’elle n’était qu’une enfant. Les fans le savent déjà. Si je devais tourner [dans "We Got Married"], ne resterais-je pas immobile toute la journée à admirer Kim Min Jung ? Comme si j’étais sans voix (rires).
Q : Vous dîtes toujours que votre idéal est une femme qui ne ment pas et qui rie beaucoup. Êtes-vous aussi une personne sincère ?
Jun.K : Il faut être sincère lorsqu’on est en couple. C’est vrai, mais dans tous les cas il faut être deux pour être un couple. Pour l’instant, ce n’est pas le cas. Il n’y a personne [dans ma vie]. Réellement.
Q : C’est dommage. Vous êtes encore jeune. Donc, quelle est votre dernière passion en date ?
Jun.K : Ces derniers temps, je m’essaye au mixage. Plutôt que de créer de nouvelles chansons comme un DJ, je remixe des sons déjà existants. J’aimais déjà ça à l’époque de nos débuts, mais j’ai été attiré de nouveau lorsque je me suis essayé à plusieurs instruments. C’est sympa aussi de mixer lors d’un concert. C’est toujours comme ça quand vous aimez faire quelque chose. Quand de nouveaux titres sortent, je les écoute. Ma vie entière tourne autour de la musique. C’est amusant, à chaque fois que je parle avec quelqu’un, nous finissons par discuter musique.
Q : D’idole à interprète de comédie musicale, chanteur et compositeur, et à y regarder de plus près – [votre surnom] Daegu* hyung – beaucoup de mots vous décrivent. Quel autre substantif allez-vous ajouter à cette liste dans le futur ?
Jun.K : Vous savez que j’ai changé mon prénom. Au début, j’étais contre ce choix, mais j’ai fini par le changer selon les volontés de mon père. Les gens ne comprennent pas pourquoi mon nom de scène est Jun.K alors que mon nouveau prénom est Min Jun. J’utilise le nom Jun.K en tant que compositeur et chanteur, comme ça les fans ne se sentent pas mal à l’aise. Cependant, lorsque je lis les commentaires dans les articles qui me concernent, il y a encore des gens qui se questionnent pourquoi je suis passé de Junsu à Min Jun. Ça me fait mal de voir ce genre de choses. Je pense que mon objectif ici est de montrer le genre de musique que Jun.K peut faire, afin que le public s’intéresse à moi. Plutôt que d’essayer de m’attribuer un nouveau substantif ou adjectif, je veux juste que les gens pensent, un jour, “Cette personne fait tel style de musique” lorsqu’ils entendent “Jun.K”. Objectivement, c’est mon ultime but.
Q : Donc “objectivement”, si le Jun.K de 26 ans devait regarder en arrière afin de se donner une note, en mettant sa carrière et sa vie privée sur le même piédestal, combien s’attribuerait-il ?
Jun.K : Je pense que je me donnerais 5 sur 10. Premièrement, je me suis rendu compte que la vie sociale ne s’améliore pas simplement parce que vous travaillez dur, coûte que coûte. Il faut être beaucoup plus subtil. Quand on y pense, j’ai beaucoup travaillé sur toutes sortes de musique pour l’album de 2PM. Si je travaille si dur, quelqu’un reconnaîtra certainement cela un jour ? Pas vraiment. Cela ne fonctionne pas comme ça ; vous devez échanger vos idées avec les gens avec qui vous travaillez. Je pense qu’il était nécessaire que j’exprime aux autres ce que je voulais faire. Dans le cas de mon album solo japonais, ce sont les managers/promoteurs japonais eux-mêmes qui ont décidé de le sortir, après m’avoir vu monter sur scène au Japon. Au départ, je n’ai pas dit “Je veux un solo”. Au contraire, pendant les six dernières années, j’ai travaillé dur, très dur sans jamais rien dire, mais en espérant que les autres membres et musiciens du label reconnaîtraient ma musique.
Les “10 P” de Jun.K : 
Passion / Quand pourrez-vous partir en Suisse ? Certainement dans quelques années ?
Pratique / Votre remède contre la page blanche ? Si cela m’arrive, j’arrête de travailler. Juste ça. Car si on s’acharne, la musique finit par dissoner et le résultat est mauvais.
Préférence / Soju, bière ou vin ? Je bois du soju avec de la bière. Et de temps en temps, de la vodka.
Pianiste / La musique que vous aimeriez jouer à votre petite amie ? “Because I love you” de Yoo Jae Ha.
Plateau-repas / Ce que vous cuisinez de mieux ? La soupe de kimchi, ou le kimchi au thon avec du riz cantonnais.
Penchant / Un baiser romantique ou un baiser fougueux ? Un baiser romantique.
Paladin / Que représente D’Artagnan pour Jun.K ? Il me ressemble. Il est vraiment comme moi.
Pop culture / Votre artiste coréen préféré ? Kim Bum Soo.
Prééminent / Je suis le meilleur pour “ça” dans 2PM. Celui qui a la voix la plus forte (rires).
Plus jamais / Vous a-t-on déjà largué ? Oui.

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