Cela fait des mois que ça dure ; l’affaire de chantage, orchestrée par Dahee (GLAM) et Lee Jiyeon à l’encontre de Lee Byung Hun, n’en finit plus.
Pour les retardataires, voici un bref résumé : début septembre 2014, l’on apprenait que l’acteur avait été victime de chantage. L’on connaissait plus ou moins l’identité des coupables, et leur motif – les jeunes femmes lui avaient demandé 5 milliards de won (puisqu’elles étaient apparemment endettées), ou celles-ci diffuseraient une vidéo du comédien qui pourrait lui porter préjudice. BH Entertainmentn’a alors pas tardé à prendre des mesures légales, et poursuivre les “maîtres chanteurs” en justice.
En décembre, suite à un des procès, l’avocat de Lee Byung Hun avait proposé une peine de 3 ans d’emprisonnent pour la mannequin et l’idole, bien que la requête n’ait pas encore été acceptée. Plus récemment encore, les parents de Lee Jiyeon s’étaient exprimés quant à cette histoire, clamant que leur fille n’avait pas agi avec préméditation.
Mais ce n’est pas tout ; afin de se défendre et d’atténuer leur peine, les deux filles avaient, dans un premier temps, écrit plusieurs lettres d’excuse à la victime. Apparemment, ni la Cour, ni les représentants de l’acteur, avaient trouvé ça convaincant. Dernièrement, une nouvelle donne est entrée en jeu – la mannequin a avoué qu’elle et Lee Byung Hun avaient eu une relation, en dépit du fait que celui-ci est marié à Lee Min Jung depuis quelques mois maintenant.
Cette rumeur a beaucoup intéressé les médias, notamment Dispatch qui a, tout récemment, révélé des supposés messages téléphoniques entre les deux amants.Le contenu laisse sous-entendre que tous ces bruits sont bien vrais, puisque le comédien avoue à sa prétendue maîtresse qu’il la désire, et il lui donne, à de maintes reprises, rendez-vous chez elle.
BH Entertainment a alors décidé qu’il serait judicieux de partager un communiqué officiel : “Nous sommes déçus que de fausses informations se propagent sans même avoir aucune confirmation. Nous allons prendre des mesures légales contre la source, qui a délibérément publié cela juste avant la sentence. Nous allons poursuivre en justice le détracteur.”
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